En présence d’un accident
corporel, lorsqu’on est
arrivé le premier ou que
l’on est témoin de
l’accident, porter le gilet
de haute visibilité et
appliquer les gestes
d’urgence dans l’attente des
secours.
Protéger
: Signaler l'accident aux
autres usagers pour éviter
un sur-accident (utilisation
du ou des triangles de
présignalisation, feux de
détresse ...). De nuit
essayer d'éclairer
l'accident.
Alerter
: Police ou Gendarmerie,
pompiers, borne d’appel sur
l’autoroute, lorsqu'on
arrive le premier le plus
rapidement en précisant le
lieu, la gravité apparente,
le nombre de blessés ...
Sinon passer avec prudence
pour ne pas encombrer
inutilement les lieux.
Numéros utiles : SAMU (15),
police ou gendarmerie (17),
pompiers (18), 112 pour
l’appel unique européen.
Secourir
: couvrir les blessés, leur
parler mais ne pas
intervenir sans compétences
spécialisées.
En cas d’accident matériel,
garder son calme et sa
courtoisie quelle que soit
la gravité de l’accident.
Compte tenu de
l’encombrement d’un véhicule
lourd, dégager les lieux dès
que possible. En cas
d’impossibilité (véhicule
hors service), protéger les
lieux.
Prévenir son entreprise et
procéder à la rédaction d’un
constat amiable. La
détention et l’utilisation
d’un constat amiable ne sont
pas obligatoires mais elles
sont fortement recommandées.
Le constat amiable est de
format européen et peut être
utilisé dans tous les pays
de l’Union. Les rubriques
sont ainsi identiques,
seules les langues des pays
changent.
La rédaction du recto se
fait en présence de la
partie adverse (identités et
coordonnées des conducteurs,
de leurs compagnies
d’assurances, date, heure et
lieu du sinistre, dégâts
apparents, circonstances,
croquis, etc.). Un total des
croix est fait, les deux
parties signent le constat
avant de séparer les deux
exemplaires (autocarbonnés).
Il n’est alors plus possible
de modifier le recto. Le
verso est individuellement
complété avant envoi à
l’assureur (5 jours ouvrés
en cas d’accident matériel).